Droit des femmes et grandes femmes

Nous avons parfois l’impression que le progrès est linéaire, à tout le moins, lorsque nous regardons les progrès scientifiques des cent derniers ans, les bonds effectués sont prodigieux. Malheureusement, nous sommes loin d’avoir un progrès linéaire et constant en matière de droits des femmes. Au contraire, nous semblons parfois faire trois pas en avant pour ensuite en faire deux en arrière.

L’écroulement de l’état afghan fait craindre le pire pour les droits des femmes dans cette région du monde et personne ne croit, avec raison, à l’existence de talibans plus modérés que ceux qui gouvernaient avant 2001. La situation est déjà dramatique; la chaîne de télévision BBC rapportait récemment que les femmes magistrates afghanes sont désormais traquées par les meurtriers qu’elles ont condamnés.

Sans avoir besoin de regarder si loin de chez nous, nous ne pouvons qu’être inquiets de la récente loi adoptée au Texas apportant des restrictions importantes au droit à l’avortement dans cet état. Il semble que, malheureusement, ce soit encore révolutionnaire, dans beaucoup de sociétés, de dire qu’une femme est maitre de son corps.

Ces événements graves nous rappellent qu’en matière de droits des femmes, on ne semble jamais vraiment pouvoir parler d’acquis et qu’il s’agit d’une lutte à continuer. Le rapport du Barreau du Québec sur le harcèlement et les violences à caractère sexuel dans la pratique du droit nous rappelle qu’un changement de culture est nécessaire au sein de notre profession pour cheminer vers une réelle équité homme/femme. Comme jeunes, il est important d’être à l’avant-garde de ces mouvements pour une société plus juste.

Comme jeunes avocates et avocats, nous devons être les gardien.nes de ces valeurs. À une époque où les mouvements populistes sont de plus en plus importants et où nos institutions sont souvent attaquées, comme profession, nous devons être une voix forte pour la justice l’un des piliers essentiels de notre société. On ne peut pas parler sérieusement de justice, sans parler des droits des femmes.

Justement, dans le cadre du thème de cette édition du JBM, je me dois de souligner deux femmes d’exception, deux actrices de justice au JBM.

Au revoir chère Stéphanie

me stephanie beaulieu

C’est avec tristesse que le JBM annonçait le 18 août dernier le départ de Me Stéphanie Beaulieu qui a servi avec passion et détermination le JBM depuis plus de cinq ans et qui a travaillé de concert avec six conseils d’administration distincts.

Véritable pilier du JBM, celle-ci fut au centre d’avancées extraordinaires pour l’organisation. Rapidement après son entrée en fonction, celle-ci a assuré la pérennité de la Clinique juridique téléphonique du JBM en concrétisant un partenariat clé permettant sa tenue deux fois par année. Grâce à sa vision novatrice, son leadership et sa rigueur, le JBM a mené de nombreuses revendications publiques en lien avec le Rapport sur la situation de l’emploi chez les jeunes avocats du Québec et le Rapport du JBM sur le système d’aide juridique québécois. C’est sous sa gouverne que nous avons vu naître le premier Guide vers l’aide juridique au Québec, un outil essentiel pour les avocat.e.s de pratique privée acceptant des mandats d’aide juridique. De même, on ne peut passer sous silence que, lors de son passage au JBM, notre nouvelle image de marque a été développée, nos événements phares ont connu des taux de participation record, les technologies et les premières expériences de communauté intelligente ont été intégrées dans nos activités.

BIENVENUE ÉLIZABETH!

me elizabeth menard laberge

Le 1er septembre dernier, le JBM annonçait l’embauche de Me Élizabeth Ménard-Laberge à titre de nouvelle directrice générale. Titulaire d’un baccalauréat en droit de l’Université Laval et d’un baccalauréat en communication, politique et société de l’UQAM, Élizabeth a été impliquée tout au long de son parcours universitaire dans divers comités.

Elle est membre du Barreau du Québec depuis 2018 et bénéficie d’une pluralité d’expériences, allant de la pratique en contentieux au droit de la famille et du logement, lui permettant ainsi de comprendre la réalité de beaucoup de nos membres.

Passionnée et engagée, nous sommes convaincus qu’elle saura, non seulement mettre en place le Plan stratégique 2021-2024, mais qu’elle amènera l’organisation vers de nouveaux sommets avec sa nouvelle équipe accessible, dynamique et engagée.

Au revoir chère Stéphanie

me stephanie beaulieu

C’est avec tristesse que le JBM annonçait le 18 août dernier le départ de Me Stéphanie Beaulieu qui a servi avec passion et détermination le JBM depuis plus de cinq ans et qui a travaillé de concert avec six conseils d’administration distincts.

Véritable pilier du JBM, celle-ci fut au centre d’avancées extraordinaires pour l’organisation. Rapidement après son entrée en fonction, celle-ci a assuré la pérennité de la Clinique juridique téléphonique du JBM en concrétisant un partenariat clé permettant sa tenue deux fois par année. Grâce à sa vision novatrice, son leadership et sa rigueur, le JBM a mené de nombreuses revendications publiques en lien avec le Rapport sur la situation de l’emploi chez les jeunes avocats du Québec et le Rapport du JBM sur le système d’aide juridique québécois. C’est sous sa gouverne que nous avons vu naître le premier Guide vers l’aide juridique au Québec, un outil essentiel pour les avocat.e.s de pratique privée acceptant des mandats d’aide juridique. De même, on ne peut passer sous silence que, lors de son passage au JBM, notre nouvelle image de marque a été développée, nos événements phares ont connu des taux de participation record, les technologies et les premières expériences de communauté intelligente ont été intégrées dans nos activités.

BIENVENUE ÉLIZABETH!

me elizabeth menard laberge

Le 1er septembre dernier, le JBM annonçait l’embauche de Me Élizabeth Ménard-Laberge à titre de nouvelle directrice générale. Titulaire d’un baccalauréat en droit de l’Université Laval et d’un baccalauréat en communication, politique et société de l’UQAM, Élizabeth a été impliquée tout au long de son parcours universitaire dans divers comités.

Elle est membre du Barreau du Québec depuis 2018 et bénéficie d’une pluralité d’expériences, allant de la pratique en contentieux au droit de la famille et du logement, lui permettant ainsi de comprendre la réalité de beaucoup de nos membres.

Passionnée et engagée, nous sommes convaincus qu’elle saura, non seulement mettre en place le Plan stratégique 2021-2024, mais qu’elle amènera l’organisation vers de nouveaux sommets avec sa nouvelle équipe accessible, dynamique et engagée.